19 février 2005
Une petite bio :Britney... pas besoin d'en dire
Une petite bio :
Britney... pas besoin d'en dire pour savoir de qui on parle. Ca, c'est la classe :) Portrait d'un phénomène.
S'il y a bien un truc qu'on peut affirmer à propos de Britney, c'est qu'elle s'est fait un prénom. Personne ne doute que quand on parle de Britney, on parle bien de mademoiselle Spears. Un peu comme Mounia... mais en plus balèze quand même - avec tout le respect que j'ai pour la miss Mounia, entendons-nous bien.
On aura beau critiquer gnagnagna, Britney est une bête de scène, une danseuse exceptionnelle et une chanteuse qui a un timbre de voix hors norme. En plus donc d'être une artiste exceptionnelle, Britney est également devenue une marque. Comme tous les produits marketing, elle s'est créée une image, un packaging, un prix, des moyens de promotion et des TAS de produits dérivés. Chacun son truc, on pourra toujours critiquer cet aspect très "promo" du produit artistique, toujours est-il que ses vieux jours sont assez bien assurés. Et ceux de ses enfants et petits-enfants aussi, d'ailleurs.
Britney, comme la plupart des teen-idols, c'est aussi une vie privée remplie d'aventures, finalement toutes assez banales, mais tellement bien relayées par les médias qu'on finit par se prendre au jeu. On a tous suivi quasiment en direct sa rupture avec Justin Timberlake (joli couple quand même...), ses déboires post-rateau (notamment les kilos superflus), ses coups de blues sur scène devant des milliers de fans... N'oublions pas les fights à distance avec Christina Aguilera, le pugilat mémorable "string au-dessus du pantalon de I'm a Slave For You contre orgie peu recommandable dans la douche de Dirrty de Xtina". On est d'accord, à ce petit jeu, Britney s'est fait tuer la tête :)
Citons également la petite soeur, copie conforme de la grande soeur, mais avec encore plus de talent scénique, si j'en crois la prestation que j'ai pu voir il y a peu sur le câble.
Forcément, quand on réussit de la sorte, qu'on est une blonde à forte poitrine (siliconée, pas siliconée, le sujet déchaine les passions), on provoque des jalousies. Sa musique est plutôt aseptisée, tout comme le fut son film Crossroads, pourtant honnête petit carton au box-office.
Autre chose dérangeante : la Britney a un mode de communication sur ses convictions... particulièrement "américain", dirons-nous. Pour être clair, complètement hypocrite sur le sexe... De belles paroles sur la virginité préservée jusqu'au mariage mais aussi des clips et des photos avec juste ce qu'il faut de "hot" pour exciter le consommateur mâle. Hé oui, on revient toujours au marketing... C'est vrai que depuis ses débuts avec Baby One More Time, elle a bien grandi, Britney, mais son discours, lui, n'a pas changé.
Quand on voit le virage que Justin Timberlake a eu l'audace de prendre (180° total...), passant de la couv de Salut à celle de Nova Magazine, on se dit que le Justin, lui, a décidé de suivre son "own way of life". Et même si son album marche aussi bien, ce style n'est pas forcément celui que ses conseillers marketing ont dû lui préconiser... Aaaah le marketing ! :)
Britney... pas besoin d'en dire pour savoir de qui on parle. Ca, c'est la classe :) Portrait d'un phénomène.
S'il y a bien un truc qu'on peut affirmer à propos de Britney, c'est qu'elle s'est fait un prénom. Personne ne doute que quand on parle de Britney, on parle bien de mademoiselle Spears. Un peu comme Mounia... mais en plus balèze quand même - avec tout le respect que j'ai pour la miss Mounia, entendons-nous bien.
On aura beau critiquer gnagnagna, Britney est une bête de scène, une danseuse exceptionnelle et une chanteuse qui a un timbre de voix hors norme. En plus donc d'être une artiste exceptionnelle, Britney est également devenue une marque. Comme tous les produits marketing, elle s'est créée une image, un packaging, un prix, des moyens de promotion et des TAS de produits dérivés. Chacun son truc, on pourra toujours critiquer cet aspect très "promo" du produit artistique, toujours est-il que ses vieux jours sont assez bien assurés. Et ceux de ses enfants et petits-enfants aussi, d'ailleurs.
Britney, comme la plupart des teen-idols, c'est aussi une vie privée remplie d'aventures, finalement toutes assez banales, mais tellement bien relayées par les médias qu'on finit par se prendre au jeu. On a tous suivi quasiment en direct sa rupture avec Justin Timberlake (joli couple quand même...), ses déboires post-rateau (notamment les kilos superflus), ses coups de blues sur scène devant des milliers de fans... N'oublions pas les fights à distance avec Christina Aguilera, le pugilat mémorable "string au-dessus du pantalon de I'm a Slave For You contre orgie peu recommandable dans la douche de Dirrty de Xtina". On est d'accord, à ce petit jeu, Britney s'est fait tuer la tête :)
Citons également la petite soeur, copie conforme de la grande soeur, mais avec encore plus de talent scénique, si j'en crois la prestation que j'ai pu voir il y a peu sur le câble.
Forcément, quand on réussit de la sorte, qu'on est une blonde à forte poitrine (siliconée, pas siliconée, le sujet déchaine les passions), on provoque des jalousies. Sa musique est plutôt aseptisée, tout comme le fut son film Crossroads, pourtant honnête petit carton au box-office.
Autre chose dérangeante : la Britney a un mode de communication sur ses convictions... particulièrement "américain", dirons-nous. Pour être clair, complètement hypocrite sur le sexe... De belles paroles sur la virginité préservée jusqu'au mariage mais aussi des clips et des photos avec juste ce qu'il faut de "hot" pour exciter le consommateur mâle. Hé oui, on revient toujours au marketing... C'est vrai que depuis ses débuts avec Baby One More Time, elle a bien grandi, Britney, mais son discours, lui, n'a pas changé.
Quand on voit le virage que Justin Timberlake a eu l'audace de prendre (180° total...), passant de la couv de Salut à celle de Nova Magazine, on se dit que le Justin, lui, a décidé de suivre son "own way of life". Et même si son album marche aussi bien, ce style n'est pas forcément celui que ses conseillers marketing ont dû lui préconiser... Aaaah le marketing ! :)
